La capitale française de l’industrie – et de la pollution –, qui a perdu 6 000 emplois industriels en vingt ans, misait sur sa transition verte pour remonter la pente. Mais les annonces d’ArcelorMittal jettent un froid.
Point presse de la CGT locale le 28 avril : « Si la décarbonation ne se fait pas, il faut craindre la fermeture du site. » STEPHANE DUBROMEL POUR « LE NOUVEL OBS »