Reste le serpent de mer des décennies passées, l’éternelle relance d’un fret ferroviaire réduit à néant, chantier herculéen dont personne ne peut imaginer qu’il soit lancé à vingt mois de la fin d’un mandat (ici la gare ferroviaire SNCF de Baroncourt, locomotives et wagons hors service en attente d’être envoyés à la casse). Olivier SAINT-HILAIRE/HAYTHAM-REA
Fin des terrasses chauffées, des chaudière au fuel ou au charbon, et relance du fret ferroviaire… Le train de mesures environnementales annoncé par le gouvernement est censé engager la transition écologique. Mais si tout cela n’était surtout que promesses de communicants ? Ou juste un petit vent écolo bientôt balayé par les conséquences de la crise sanitaire ?
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