Une quarantaine de groupes, dont Coca-Cola ou Nestlé, se seraient coordonnés pour restreindre l’information donnée au public, au moment de l’interdiction, en 2015, de ce perturbateur endocrinien dans les emballages, révèle une enquête de l’Autorité de la concurrence.
SEVERIN MILLET

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire