Pas de savant dans sa baignoire, pas de sieste sous un pommier, personne ne criant « Eurêka ! »… en découvrant soudainement le dérèglement climatique. Qui d’ailleurs pourrait manifester sa joie d’avoir mis au jour une telle catastrophe ? La chercheuse Lesley Hughes évoque bien au contraire « des moments de pure terreur, de ceux qui vous arrêtent le cœur et vous empêchent de dormir ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire