Le texte publié le 26 janvier n’augmente pas les distances de sécurité pour les produits suspectés d’être cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques, comme l’avait demandé le juge administratif.
Un agriculteur français pulvérise un herbicide dans la Sarthe, le 16 septembre 2019. JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP
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