samedi 4 mars 2017



Le rapport publié par l’association Générations futures en février 2017 relatif à l’analyse des cheveux de sept personnalités proches de l’écologie a été fortement relayé dans les médias ces deux dernières semaines. Cette initiative avait pour objet d’agir sur les membres de la Commission européenne qui s’apprêtaient à définir juridiquement et réglementer les perturbateurs endocriniens. Depuis 2013, en effet, la Commission européenne rechigne à légiférer et, a minima, souhaite mettre en avant des exceptions qui viderait de sa substance un texte protecteur pour les citoyen/nes européennes.

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