La qualité de l’air s’est améliorée d’environ 30 % après le 17 mars. La chute, spectaculaire pour les polluants liés au trafic routier, ne concerne pas les particules fines.
Boulevard de Sébastopol, à Paris, le 17 mars. ODHRAN DUNNE POUR « LE MONDE »
Le confinement a eu au moins un effet bénéfique pour les Franciliens : même s’ils ne peuvent pas vraiment en profiter, l’air qu’ils respirent est moins pollué. Selon une première évaluation publiée mercredi 25 mars par Airparif, la qualité de l’air s’est améliorée de 20 % à 30 % dans l’agglomération parisienne. L’organisme a comparé les niveaux de polluants relevés la semaine du 16 mars à une semaine d’un mois de mars normal.
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