L’« agroforesterie », l’art d’associer arbres et agriculture, ne permet pas seulement de préserver la biodiversité et de lutter contre le dérèglement climatique, estime Emmanuel Torquebiau, chercheur, dans une tribune au « Monde » appuyée par neuf autres chercheurs.
Les épidémiologistes savent que la disparition du monde sauvage facilite les épidémies qui touchent l’humanité. C’est par exemple ce que dit Serge Morand, chercheur au CNRS-CIRAD et auteur de « La prochaine peste » (Fayard 2016) dans une interview récente au magazine « Marianne » : « Le nombre d’épidémies augmente en raison de la perte de la biodiversité ».
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