C’est la proportion d’études jugées « non fiables » par deux spécialistes, parmi toutes les études réalisées par les industriels et utilisées par l’Efsa pour évaluer les risques liés au glyphosate avant sa réautorisation en 2017. Habituellement classées « secret industriel » mais récupérées par l’ONG SumOfUs suite à une injonction de justice, ces études ont été épluchées par deux scientifiques autrichiens qui les ont comparées aux « bonnes pratiques » établies par l’OCDE. Des bonnes pratiques très peu respectées finalement, ce qui pourrait expliquer les divergences entre le Circ qui classe le glyphosate comme cancérogène, et les agences européennes qui ne font pas ce lien.
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