L’Autorité européenne de sécurité des aliments suggère qu’une réduction des populations de pollinisateurs de l’ordre de 10 % après un traitement est tolérable. Une affirmation contestée par les ONG.
Abeille sauvage pollinisant des fleurs de tournesol, dans l’Ain, en 2017. JEAN_PHILIPPE DELOBELLE/BIOSPHOTO
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