Entre maintenance et canicule, la centrale du Tarn-et-Garonne fonctionne a minima: un réacteur est arrêté pour inspection corrosion, l’autre tourne au ralenti depuis que le fleuve qui assure son refroidissement a dépassé les 28 degrés. Une illustration des problèmes inédits que rencontre le parc nucléaire d’EDF.
Les tours de refroidissement de la centrale nucléaire de Golfech, située au bord de la Garonne, en avril 2019.
Regis Duvignau/Reuters
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire