La taxation des superprofits décidée par le gouvernement sans débat parlementaire (merci le 49.3 !) a été réduite à peau de chagrin. Cette taxe peut et doit répondre aux impératifs de la transition écologique et de la crise du coût de la vie. C’est pourquoi l’Alliance écologique et sociale, dont Greenpeace fait partie, demande au Sénat de faire une nouvelle proposition de loi. Pour que notre demande soit examinée, elle doit recueillir au moins 100 000 signatures.
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