Lancer des «bombes à graines» résistantes aux herbicides, lâcher des choucas pour picorer le maïs dans les champs des gros céréaliers… Le mouvement des «Naturalistes des terres» met à profit le savoir tiré de l’observation des paysages et des espèces pour penser de nouveaux modes d’action écologiques.
Lors des premières rencontres des Naturalistes des terres, en Vendée, le 8 avril. Théophile TROSSAT/Libération
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