Aucun doute : l’obsolescence accélérée des objets de notre quotidien participe au désastre écologique. Pourtant, notre société regarde toujours la maintenance et la réparation comme des tâches subalternes et le bricolage comme un simple loisir. Contre l’insouciance consumériste, il est temps de réapprendre à faire durer les choses. Et de travailler à rendre notre monde d’artefacts réparable.

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