Alors que certaines communes et structures scolaires ont progressivement introduit l’usage du plastique dans les cantines, d’autres déclarent la guerre aux perturbateurs endocriniens en bannissant tout composant susceptible d’en contenir. Eléments d’éclairage sur une situation qui mériterait d’être observée et encadrée de plus près par les pouvoirs publics.
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