En 2018, le niveau d’exposition limite recommandé par l’Organisation mondiale de la santé a été dépassé plus de soixante jours. Des associations dénoncent un « scandale sanitaire ».
Des petites bougies allumées déposées sur le sol dessinent le chiffre 1 700 devant le siège de la Métropole européenne de Lille (MEL) ; 1 700, comme le nombre de décès prématurés attribués chaque année, selon Santé publique France (SpF), à la pollution de l’air à l’échelle de l’agglomération. A l’invitation de plusieurs associations environnementales, une soixantaine de Lillois – certains vêtus de noir de la tête aux pieds – ont profité, jeudi 10 janvier, du premier séminaire sur la santé environnementale de la MEL pour rappeler aux élus ce bilan macabre et rendre hommage aux victimes.
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