Il est également prévu la possibilité pour les divers pays membres d’« interdire ou restreindre » immédiatement cette pratique dans leurs eaux territoriales.
Un bateau de pêche dans le port du Guilvinec, le 13 février. FRED TANNEAU / AFP
Cette décision aura quelque chose de rassurant pour les ONG qui gravitent à Bruxelles : une campagne de communication maligne, mais acharnée et persévérante, peut permettre d’arriver à ses fins. Y compris de bousculer les équilibres au sein du Conseil européen, l’institution représentant les Etats membres, bien plus imperméable aux mouvements de la société civile que le Parlement de Strasbourg.
La suite...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire