Les endiviers craignent que l’interdiction de trois pesticides ne mette en danger la filière. Selon eux, cette culture manque d’alternatives et ne serait pas économiquement viable en 100 % bio.
Dans l'exploitation endivière de Claire Messean et Henri Trevaux, à Aizecourt-le-Haut, fin février 2024.
© Stéphane Dubromel / Reporterre
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