« Une science qui ne circule pas est une science morte », rappellent, dans une tribune au « Monde », quelque 800 chercheurs, doyens de médecine et patrons des grands instituts, comme le CNRS ou l’Inserm. Selon eux, les découvertes et innovations supposent un « brassage de chercheurs et d’étudiants de toutes origines, de toutes religions, de toutes opinions ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire