Dans son discours de politique générale, en janvier, le Premier ministre Gabriel Attal réaffirmait le revirement majeur opéré en faveur de l’atome depuis la fermeture de la centrale de Fessenheim sous le premier quinquennat d’Emmanuel Macron.
L’urgence climatique est régulièrement avancée pour justifier ce virage stratégique opéré sans réel débat citoyen. Il convient de l’examiner avec rigueur en dépassant les stéréotypes dans lesquels nous enferment les débats polarisés entre « pros » et « antis ».
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