Ce phénomène, plus prononcé dans les zones les plus sèches et celles où l’activité humaine est la plus intense, concerne en premier lieu la partie brésilienne de la forêt, selon une étude parue dans « Nature ».
Une zone brûlée de la forêt amazonienne dans les environs de la ville de Porto Velho, dans l’Etat de Rondônia, au Brésil, le 15 septembre 2017. MAURO PIMENTEL / AFP
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