Pour que le dernier rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, publié lundi 4 avril, ne soit pas un énième avertissement s’ajoutant, sans grand écho, aux précédents, il est indispensable de mobiliser les Etats, les entreprises et les citoyens.
En dépit des avertissements, des manifestations toujours plus visibles du réchauffement climatique, de la prise de conscience grandissante dans l’opinion publique de la gravité de la situation, le GIEC sonne le tocsin, une fois encore, avec un compte à rebours qui se raccourcit dangereusement. Après trois décennies de mobilisation onusienne, au travers de vingt-six COP, le monde ne s’est toujours pas mis sur la bonne trajectoire pour qu’il reste encore vivable d’ici à la fin du siècle. Désespérant.
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