Contrairement à une idée reçue, la qualité de l'air s'améliore fortement depuis une trentaine d'années dans les métropoles françaises. Mais la hausse des températures risque d’aggraver les pics de pollution. Petit tour de la situation et des solutions avec la chimiste Isabelle Coll, spécialiste en sciences de l’atmosphère.
Les émissions de dioxyde d’azote en France ont été réduites de 40 % et les émissions de particules fines de 40 à 50 % par rapport au début des années 2000. Mais on continue à observer des dépassements de seuils parfois à l’échelle de l’heure, de la journée ou de l’année. Illustration : Pierre Leibovici.
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