C’est leur première victoire. Le 1er décembre, la justice française a donné raison aux 145 personnes camerounaises opposées à la Société camerounaise de palmeraies (Socapalm) et au groupe Bolloré (détenu par le milliardaire breton Vincent Bolloré). Ce dernier va devoir fournir des documents pour établir la nature exacte de ses liens avec la Socapalm.
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