« Il faut prendre acte de l’impasse que constitue la promesse du tout-recyclage, du fantasme d’un monde sans déchets », explique l’universitaire dans un entretien au « Monde ». L’impératif, selon lui, demeure de réduire production et consommation.
Baptiste Monsaingeon, à Reims (Marne), en 2022. UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE
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