À partir de février, le gouvernement portugais va instaurer une limitation de la consommation d’eau avec des coupures de l’ordre de 25 % pour l’agriculture et de 15 % pour les usagers en milieu urbain, dont les ménages et les acteurs du tourisme dans la région de l’Algarve. Une réaction jugée bien trop tardive par la presse portugaise : “Nous courons après nos pertes”, déplore le “Jornal de Negócios”.
Le barrage de Campilhas à Santiago Do Cacem dans le sud du Portugal, le 24 août (image d’illustration).
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