Sans forcément l’avoir souhaité, les banques centrales ont été placées au premier plan de la lutte contre le changement climatique. Des appels sont régulièrement lancés pour qu’elles l’intègrent parmi leurs objectifs officiels, ce qui les conduirait à exclure certains actifs de leurs opérations d’achats afin de favoriser les industries et activités économiques les « plus vertes »...
Une politique commune pourra-t-elle continuer de s'appliquer alors que les conséquences macroéconomiques du changement climatique s'annoncent différentes entre pays membres ? Shutterstock
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