Airparif publie ce jeudi matin une étude qui met en évidence la présence très forte, à proximité de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, de particules ultrafines, dangereuses parce qu’elles s’immiscent profondément dans l’organisme.
Aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Airparif, l’observatoire de la qualité de l’air en Île-de-France, a mesuré les niveaux de pollution aux abords de la plate-forme, qui enregistre entre 450 000 à 500 000 vols annuels. (Archives) LP/Olivier Boitet
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