A Saint-Félix-de-Pallières comme dans des milliers d’anciens sites miniers en France, l’extraction a laissé des traces invisibles. Une pollution à l’arsenic ou au cadmium qui pèse sur la santé des habitants comme sur les milieux naturels. Cinquante ans après la fermeture, l’obligation de dépolluer s’impose enfin à l’exploitant.
Michel Bourgeat et son chien Jaurès devant sa maison, sur les hauteurs de Saint-Félix-de-Pallières (Gard), le 3 mai 2024.
Julien GOLDSTEIN pour « LE MONDE »
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