Après trois éditions dans des États autoritaires, le sommet mondial (COP30) sur le climat s’ouvre ce lundi au Brésil. Les organisations de la société civile comptent profiter de leur liberté retrouvée, mais les États, eux, viennent avec leur plus mauvaise volonté.
Le président brésilien Lula et son homologue français Emmanuel Macron, dans la baie de Guajará, près de Belém (Brésil), le 26 mars 2024. © Ricardo Stuckert/Palácio do Planalto


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