De plus en plus d’enseignants et de chercheurs critiquent la place insuffisante accordée au changement climatique dans les programmes.
En traversant, fin février, le parc naturel du Vercors, terrain privilégié pour observer la nature, Justine Renard a remarqué avec stupéfaction des « papillons citrons et des bourgeons qui commençaient à s’ouvrir ». Cette professeure de sciences de la vie et de la terre (SVT), qui enseigne au lycée international Europole de Grenoble, se dit « de plus en plus inquiète » des signes évidents du dérèglement climatique, mais aussi, et surtout, de son rôle et de sa responsabilité en tant qu’enseignante.
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