Le confinement est propice à l’observation de nos compagnons ailés depuis nos fenêtres, balcons et jardins privés. Mésange charbonnière ou grive musicienne ?
Une mésange. CHRISTOF STACHE / AFP
Moins de bruit, de pollution aussi, des rues désertes : depuis le confinement, les canards des bords de Seine se dandinent sur les trottoirs parisiens, les méduses flânent dans les canaux vénitiens, tandis que rorquals et dauphins s’aventurent dans les ports méditerranéens. Les oiseaux et leurs chants n’ont jamais été aussi perceptibles dans les villes en sommeil, et l’oreille du confiné, nez à la fenêtre, un pied au jardin ou sur le balcon, aussi attentive à leurs allées et venues mélodieuses.
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