Les consultants Joël Hazan, Pierre-François Marteau et Benjamin Fassenot craignent que la peur de la contagion et la baisse des budgets publics ne fassent délaisser transports en commun et « mobilité douce ».
L’immobilité quasi totale dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui constitue une situation inédite dans l’histoire récente des transports. Cette expérience nous rappelle d’abord des fondamentaux : mobilité des personnes, développement économique et environnement sont intimement liés.
L’impossibilité de se déplacer ampute le PIB mensuel d’environ 30 % en France, selon l’Insee. Et la chute vertigineuse du nombre de déplacements a permis, selon AirParif, une amélioration de la qualité de l’air de l’ordre de 20 % à 30 % dans l’agglomération parisienne.
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