On tend à l’oublier, et pourtant : la planète est en activité géologique constante. Pas seulement à travers les spectacles terrifiants du volcanisme et des séismes, mais également à travers l’érosion et la sédimentation. Des mécanismes dont l’eau est un vecteur et qui sont tellement banals qu’on leur prête peu d’attention, sauf peut-être lorsqu’il est question du recul du trait de côte. Ou lorsque des événements météorologiques soudains occasionnent inondations, crues torrentielles ou glissements de terrain.
Des résidents de la Bérarde de retour sur les lieux de la catastrophe qui a dévasté leur hameau le 21 juin 2024.
Arnaud FINISTRE/AFP
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