La climatologue suisse Sonia Seneviratne remarque, dans un entretien au « Monde », une forme de banalisation face aux événements extrêmes. Elle redoute le franchissement de points de bascule aux conséquences imprévisibles.
Un temple Guanyin partiellement submergé par les eaux de crue du fleuve Yangtze, à Ezhou (province de Hubei en Chine),
le 6 juillet 2024. AFP
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