Si le Premier ministre a évoqué lundi 25 août, lors de sa conférence de presse, l’urgence environnementale, il n’en a qu’une vision comptable et productiviste.
François Bayrou à Boissy-la-Rivière (Essonne), le 26 août. (Albert Facelly/Libération)
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Et si tout servait la même fin ? Pendant que nos politiques se noient sans parvenir à gérer leur cœur de métier (une direction et un budget pour le pays), certains continuent de basses besognes. Le vivant et les écosystèmes sont si étrangers à la vie politique que le champ est libre !
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