Maïs noircis, ruches souillées… Certains font leurs analyses personnelles, d’autres s’en remettent à la préfecture, mais tous, maraîchers, éleveurs, apiculteurs, devinent qu’ils vont devoir payer ce nuage de suie.
Une fumée noire s’échappe de l’usine de Lubrizol en feu, à Rouen, le 26 septembre. Les habitants des alentours ont été invités à rester chez eux. JEAN-JACQUES GANON / AFP
Le chiffon était blanc, il est ressorti noir. Vendredi 27 septembre, en fin d’après-midi, Patrick Berrubé enfile sa combinaison et son voile d’apiculteur et gagne son jardin de Quincampoix, petite commune périphérique de Rouen, en Seine-Maritime. Le voilà au pied de ses ruches, son passe-temps de retraité. Il essuie une des planches d’envol, là ou entrent et sortent les essaims. « S’il y a de la suie sur le chiffon, soupire-t-il, il y en a forcément dans la ruche, donc dans les abeilles. »
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L’usine de Lubrizol réduite en cendres, à Rouen, le 27 septembre. LOU BENOIST / AFP
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