Au pays de l’hyperconsommation, et de l’espace XXL, certains tentent l’expérience de la décroissance. Ecologie, philosophie, politique et finance sont mises en avant.
Intérieur d’une « tiny house » aux USA. Charles Krupa / AP
Au pays du gigantisme, les adeptes américains de la micromaison (« tiny house ») ne sont pas légion, mais ils constituent une communauté active sur les réseaux sociaux, décrivant par le menu leur mode de vie, leur philosophie, leurs « bons plans », leurs écueils. Il y a ceux qui posent des fondations, ceux qui déménagent souvent, ceux qui les mettent sur roues ou sur pilotis. Ceux qui les déclarent à la mairie et ceux qui préfèrent passer sous les radars. Un petit monde érigé en « mouvement », qui formule des revendications et a fondé une association, l’American Tiny House Association (ATHA), pour les porter.
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