D’après le système européen Copernicus, juillet 2019 égale ou dépasse le record de 2016 pour le mois de juillet le plus chaud.
Comment les citoyens peuvent-ils revendiquer une bonne politique climatique à leurs gouvernements si on les trompe régulièrement dans la presse ? C’est la question aiguisée par les canicules (en France, et avec un rebond au Groenland) et les records mensuels de températures planétaires (en juillet 2019 à nouveau). Or, dans la dernière livraison de Nature communications, un trio de chercheurs démontre avec une démarche « big data » à quel point la presse (anglophone dans une centaine de pays) se livre sans compter aux négateurs de la science du climat. Traités, dans le meilleur des cas, à égalité avec les scientifiques. Et contribue ainsi à la diffusion des messages trompeurs et mensongers des porte-paroles du mal nommé « climato-scepticisme ».
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