Qualifiée d’« emmerdeuse » dans des échanges de mails internes, Carey Gillam raconte au « Guardian » comment la multinationale a tenté de détruire sa réputation.
Carey Gillam avec Dewayne Johnson, le jardinier américain qui a attaqué Monsanto en justice. ARACELI JOHNSON
Pour ce qui est de cibler ses opposants, Monsanto n’en est pas à son premier fait d’armes. En mai dernier, Le Monde et France 2 avaient révélé des documents internes démontrant que la firme fichait des centaines de personnalités en fonction de leur position sur le glyphosate et de leur propension à être influencés. Dans la foulée et suite à une plainte du Monde, le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire notamment pour « collecte de données personnelles par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite » et « enregistrement de données à caractère personnel sensible sans l’accord de l’intéressé et transfert illicite de données à caractère personnel ».
La suite...
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