Les dernières analyses du 22 janvier prouvent que les taux d'éthylbenzène et xylène dans le lait maternel étaient plus élevés après l'incendie de Lubrizol qu'avant. Publié le 23 Jan 20 à 19:05 Plusieurs jeunes mamans de la région de Rouen ont fait analyser leur lait pour savoir si l'incendie de Lubrizol a eu des répercussions sur leur état de santé et celui de leurs enfants.
Plusieurs jeunes mamans de la région de Rouen ont fait analyser leur lait pour savoir si l’incendie des produits Lubrizol a eu des répercussions sur leur état de santé et celui de leurs enfants. (©Adobe stock/illustration)
De nouvelles analyses de lait maternel et d’urine viennent appuyer l’hypothèse d’un possible « effet Lubrizol », concernant la présence d’hydrocarbures dans les fluides de plusieurs mamans originaires de la région de Rouen (Seine-Maritime). Ces analyses transmises à ces mères de familles mercredi 22 janvier 2020, révèlent que les taux d’éthylbenzène et de xylène contenus dans le lait ont été plus élevés après la catastrophe industrielle qu’avant. À ce stade, aucune interprétation scientifique ne peut être faite quant à la nocivité de ces molécules et quant au lien avec l’incendie.
La suite...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire