Alors que l’irrigation absorbe 48 % de l’eau consommée en France, les vagues de chaleur à répétition contraignent les céréaliers, éleveurs et maraîchers à revoir leurs modes de production.
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« Dans l’itinéraire désastreux pour l’environnement qu’a suivi l’agriculture bretonne, la responsabilité historique de l’agrobusiness et de l’Etat est engagée »
Les doctorants Clémence Gadenne-Rosfelder et Léandre Mandard décrivent, dans une tribune au « Monde », l’enchaînement des décisions technoscientifiques qui ont fait de la Bretagne l’un des territoires les plus pollués de France.
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