Devenue omniprésente dans le débat sur le changement climatique, la sobriété est érigée tantôt comme un idéal, tantôt comme un repoussoir. Et toujours est soulevée la question de son « acceptabilité » au sein de la société : les citoyens seraient forcément réticents à interroger leurs besoins et leur mode de vie, et la sobriété impliquerait immanquablement de consentir à des sacrifices douloureux.
Encourager des pratiques « sobres », telles que le recours à la réparation au lieu du rachat neuf, impliquent de créer les conditions qui les rendront désirables et accessibles à l’échelle collective. Shutterstock
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