La multinationale, dont le bilan carbone serait quatre fois plus élevé que ce qu’elle annonce, assigne en justice la filiale française de l’ONG pour «diffusion d’informations fausses et trompeuses» le 29 février. Cécile Duflot, Cyril Dion ou Camille Etienne dénoncent une procédure-bâillon et demandent une condamnation pour «poursuite abusive au nom de la liberté d’expression».
Manifestation de Greenpeace devant le siège social de TotalEnergies, à la Défense, le 5 février 2024. Dimitar Dilkoff/AFP
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