Ce mardi, Michel Barnier a repris la formule qu’il affectionne tant : la réduction de la dette financière et de la dette écologique. À ce propos, il a annoncé vouloir serrer la vis de la dépense et n’a pas annoncé de moyens supplémentaires pour la transition écologique.
Or, Loup Espargilière rappelle que pour être à la hauteur de la crise climatique, il faudrait investir jusqu’à 34 milliards d’euros supplémentaires d’argent public par an, selon les travaux des économistes Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz dans un rapport remis à Matignon l’an dernier.
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