Dans une France qui chaque année perd l’équivalent de 200 km² de sols naturels, agricoles ou forestiers – 20 000 terrains de football coulés dans le béton ou l’asphalte – alors que sa population est vouée à stagner, le débat sur l’artificialisation des sols n’est plus une affaire technique, réglementaire ou démographique. C’est l’expression de notre rapport au vivant, de notre difficulté à anticiper et à gouverner autrement.
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