En 2018, cinq mille exploitations ont abandonné engrais de synthèse et produits phytosanitaires chimiques pour se convertir au bio. Un record.
Une exploitation de carottes bio à Perenchies (Nord), le 18 août 2015. PHILIPPE HUGUEN / AFP
« Je ne voyais plus de perspective dans l’agriculture conventionnelle. Des rencontres et des visites d’autres exploitations m’ont convaincu d’abandonner la chimie » : Frédéric Piot explique ainsi les raisons de sa conversion à l’agriculture biologique. Après s’être déjà posé la question en 2009, avant de refuser l’obstacle, il a finalement sauté le pas en 2015. Un choix radical négocié par ce quinquagénaire, propriétaire de la ferme d’Egreville à Saint-Germain-Laxis, en Seine-et-Marne.
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