Le Conseil d’Etat, qui a estimé que « la condition d’urgence » n’était pas remplie, se prononcera sur le fond du dossier « dans les prochains mois ».
Daniel Cueff, maire antipesticide de Langouet (Ille-et-Vilaine), devant la cour administrative de Rennes, le 14 octobre 2019. DAMIEN MEYER / AFP
Le Conseil d’Etat a rejeté, vendredi 14 février, une demande de suspension en urgence des textes fixant les distances minimales d’épandage des pesticides, qui lui avait été présentée par le collectif des maires antipesticides et des associations qui les jugeaient insuffisants pour protéger les populations.
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