En dépit de la loi du 1ᵉʳ janvier 2020 relative à l’interdiction de l’utilisation de certains objets plastique à usage unique (pailles, couverts…) le plastique revient en force.
Les industriels du secteur surfent sur la vague Covid-19 : emballages, suremballages, masques, visières, protections pour les commerçants, plexiglas sont produits et consommés en masse.
Le virus persiste plusieurs heures à plusieurs jours sur toutes les surfaces, y compris sur celle des microfibres en plastique. À conditions égales par ailleurs, un coronavirus persisterait bien plus longtemps sur une blouse jetable en microfibres de polypropylène que sur une blouse en coton ou une surface en papier.
De plus, les masques constitués de fibres naturelles de type coton, flanelle, soie ou chanvre présentent des capacités filtrantes tout aussi performantes qu’un masque chirurgical en fibres synthétiques, en piégeant au moins 80 % de particules d’une taille moyenne de 60 nanomètres grâce à un effet combiné de filtration physique et d’effet électrostatique.
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