Les villes concentrent un gisement d’engrais valorisé jusqu’au début du XXᵉ siècle qui, s’il était mobilisé aujourd’hui, pourrait contribuer à la transformation de l’agriculture et à la sortie des engrais industriels, explique la professeure d’urbanisme dans un entretien au « Monde ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire